Chers amis, ¡Qué frío!
Au moment où nous vivons les journées les plus froides de l’année, nous vous invitons à vous réchauffer aux chaleurs hispaniques.
Le mois de février fut doux en compagnie des poètes chiliens contemporains, qui ont rempli la salle de la Maison de la Poésie tandis que, pendant la projection du quatrième Buñuel, Jean-Paul Campillo a épuisé une assistance ravie.
Ce mois de mars, en attendant le printemps:
Droits des handicapés, droits des femmes, droits des minorités indigènes, cadre de vie, décidément, Contraluz est de tous les combats contemporains; loin de la culture paillettes, si courante.
Et nous aimons bien terrasser les idées reçues aussi : vous verrez que le Tango n’est pas cette danse machiste que l’on vilipende d’habitude.
Quand un voyage remplace l’autre : le voyage au Chili-Bolivie à peine bouclé et voilà déjà le Pérou (un grand classique) qui se profile; n’hésitez pas trop longtemps avant de vous inscrire car cette destination est très prisée.
Et nous dirons au revoir à Bunuel (mais pas à Jean-Paul Campillo) lors de la dernière projection de notre cycle.
¡Hasta pronto!
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